En Côte d’Ivoire, ce nom rappelle automatiquement le titre  » Durcisseur ». Jean-Yves Cébon est l’un des rares artistes ivoiriens à avoir exploité le zouk avec succès. Et si c’est avec « Durcisseur » que sa notoriété a connu un boom, Jean Yves s’est fait connaître au public en 1993 avec « Métamorphose » et d’autres titres dans la même veine tels que « pas possible ce soir ».

Fidèle à la musique zouk, il accorde une importance particulière à ses textes. Naturellement, ses thèmes de prédilection tourne autour de l’amour. On aurait cru que l’artiste profiterait de l’énorme succès en 2002 de « Être aimé par quelqu’un »? « On sait faire ça » et « Durcisseur » pour enchaîner tubes sur tubes, mais le crooner s’est retiré de la scène musicale. Plusieurs années de silence songeur dit-il. Il fallait se consacrer à d’autres projets important et prendre du recul pour mieux revenir.

A l’ère de l’Afro beat et du Coupé décalé, Jean Yves Cébon ne se détourne de son genre musical des débuts. Il revient avec du Zouk. Quoique ce genre est d’un intemporel qui lui permet de traverser le temps et les tendances sans inquiétudes. La nouveauté s’intitule « Aphrodizouk », une contraction de mot qui évoque l’alchimie entre deux êtres qui s’aiment et se complètent. Amour et Zouk, l’artiste ne change pas l’équipe qui gagne.

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