Emma Lohoues, c’est payant. Diaba Sora, c’est payant. Eudoxie Yao, c’est payant. Nous tous on sait que, c’est payant.
Coco Emilia, c’est payant. Nathalie Koah, c’est payant. Nous tous on sait que, c’est payant.

Le refrain use de la répétition, ce qui ne laisse aucun doute sur le message de Bop Denarr. Il cite une à une les it girls de la Côte d’Ivoire, du Mali, et du Cameroun. Elles sont pulpeuses, belles, populaires et très intégrées dans le milieu showbiz. Leurs noms ou pseudos trouvent régulièrement leurs places dans les couplets de hits africains. Sur les réseaux sociaux, elles enregistrent des centaines de milliers de followers fascinés par leur train de vie ou leur personnalité. Bien sûr cette visibilité s’accompagnent de rumeurs négatives qui vont et viennent au rythme de leur actualité.

Le rappeur Bop Denarr a donc choisir de consacrer tout un titre à ces femmes affirmant que les avoir coûterait de l’argent. Entre les refrains faciles à retenir, les couplets appuient sa thèse avec moquerie et des punchlines scolaires.

Les réactions à la sortie du single ne se sont pas fait attendre. Sur les pages peoples ou dans les groupes, l’opinion est divisée. Pour certains, il faut le prendre comme de l’humour et en rire. Pour les autres, c’est d’un mauvais goût et injurieux pour ces femmes. La polémique va bon train dans tous les cas et l’artiste pourrait bien se laisser dépasser par sa nouvelle composition.

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